Les années 60!!!
Les années 60. Le Portugal vit sous l’emprise d’une dictature obscure, s'isole et s'enlise dans des guerres coloniales. Par dizaines de milliers, fuyant la misère, le service militaire et la répression salazariste, des hommes et des femmes fuient alors clandestinement le pays. Après la traversée des frontières espagnoles et françaises au péril de leur vie, en barque, à pied à travers la montagne ou cachés dans des camions, beaucoup débarquent gare d’Austerlitz à Paris. 9 sur 10 sont sans-papiers.
Difficile d’imaginer que les migrants portugais réputés bien intégrés aujourd’hui aient vécu les mêmes affres que les clandestins se pressant aux portes de l’Europe du XXIè siècle. Et pourtant, les “gens du Salto”sont aussi passés par là, ce qui permet au réalisateur d’envisager une communauté d’expérience entre les migrants portugais et les maghrébins des bidonvilles hier, et les sans-papiers aujourd’hui.
L’immigration portugaise, aujourd’hui, ne fait guère parler d’elle. Elle s’est banalisée. L’idée que les portugais se sont intégrés plus facilement que les migrants extra-communautaires récents parce qu’ils sont de culture européenne et catholique est devenue un lieu commun. Pourtant, l’émigration portugaise n’a pas été un long fleuve tranquille.
Aujourd'hui tous le monde a tous ce qu'il désirent ou presque!!Mais a l'époque ,Ce qui n’était pas fait aujourd’hui ce faisait demain bien sure….
Les gens étaient sûrement plus heureux ,12 heures de boulot dans les pattes aujourd’hui il n’en font que 6 ils sont fatigués.
Personne ne se plaignait, le stress n’existait pas.
Pas de robinet d’eau, il fallait allez au puits .Le linge ainsi était lavés a la main.
Les seuls moyens de transport était l’âne ou le cheval .Aujourd’hui on s’y promène dedans.
Mais on entendait chanter dans tous les coins de rues .Ils vivaient tous ensemble, de grandes familles se formait mais on trouvait solution .Des gens dans les rues, d’autres dans les maisons, y vendaient leur récolte. Tout le monde allait à la messe le dimanche. Il chantait a défaut de radio .Ils étaient heureux, la vie c’était un cadeau de dieux .Il y plus de 40 ans bien sure.
Jadis, les femmes veuves gardaient leur deuil toute leur vie .Aujourd’hui tout a changer .
Un bloque violet et beige était le savon qu’il utilisait pour la lessive, bloc d’1 k
.Le marchands de pain passait avec sa charrette dans les rues, ainsi que le vendeur de poules…..
Les gens n’allaient pas beaucoup à l’école, ils devaient vite subvenir au besoin de la famille.
Voici ce qu'on mettait sur la tête sous une cruche d'eau pour ne pas se blesser .
Les fontaines ont résisté au temps et on compte encore 4 ou 5 à travers le village.
Les défunts étaient transportés jusqu'au cimetière soit avec 4 porteurs , après dans cet engin tiré par un cheval
Je vous donne rendez-vous une autre fois pour vous faire montrer d'autres choses anciennes !!!